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Bonjour, voici en bref l'histoire courte : j'avais loué un bien et retenu légitimement la caution des locataires, après un comportement régulier, des notifications d'offset, le respect des délais, etc. Les locataires avaient causé de nombreux dommages, même au-delà de la caution, et n'avaient pas rendu la maison plus de 2 mois après la fin du bail, mais avaient simplement jeté les clés dans la boîte aux lettres à un moment donné, de sorte qu'il y avait également une perte de loyer contre l'offset et j'aurais pu compenser la caution seule. Maintenant, les locataires réclament leur caution et intentent une action en justice. Je n'ai pas pris d'avocat car je suis actuellement dans une mauvaise situation économique.
Maintenant, à la seule question : les locataires/plaignants affirment sans preuve ni fondement qu'il y aurait eu des échanges de SMS entre une de mes connaissances, chargée de faire la visite de la maison et la remise des clés aux locataires pour moi, et les locataires. Ils prétendent que ma connaissance aurait constamment reporté les rendez-vous, ce qui aurait empêché les locataires, donc les plaignants, de rendre la maison à temps, la reportant de 2 mois. J'ai formulé une demande de preuve écrite, car les affirmations des locataires/plaignants sont totalement non fondées, et j'ai demandé au tribunal de demander aux plaignants de divulguer les numéros de téléphone concernés. De plus, de fournir un relevé détaillé des appels individuels ainsi que de fournir le téléphone des plaignants pour une inspection. Chaque SMS comporte un numéro d'appel, qu'ils n'ont pas fourni, mais prétendent simplement qu'il y avait une correspondance SMS. Maintenant, le tribunal semble s'accrocher à cette correspondance SMS et je peux prouver que les plaignants mentent complètement, mais le tribunal ignore totalement ma demande de preuve. Maintenant, ma connaissance a été convoquée en tant que témoin des plaignants. Le fait est que cette correspondance ne peut pas exister, car les locataires avaient uniquement un seul numéro de téléphone de ma connaissance. Cependant, ce contrat de téléphone n'existait pas à l'époque de la prétendue correspondance, comme confirmé par écrit par l'opérateur D1. Les appels et les SMS étaient donc impossibles. Il est donc indispensable que les plaignants exposent de manière substantiée avec quel numéro de