Frag-Einen

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Licenciement et mise à pied jusqu'à la fin du travail.

Je suis sur le point d'être licencié pour des raisons économiques. Mon contrat de travail prévoit que mon employeur peut me libérer de mes fonctions.

Il semble que mon employeur souhaite me licencier pour des raisons économiques avec un préavis et me libérer.

1. On peut supposer que la libération a été convenue mutuellement et que l'obligation de cotisation cesse après un mois.

2. Que se passe-t-il si nous devions conclure un accord de règlement dans lequel la libération n'est pas mentionnée ? Est-ce une libération convenue mutuellement ?

3. Ou devrait-il être spécifiquement mentionné dans un accord de règlement révocable relâche ?

Michael Vogt

Chère consultante, Cher consultant,

Je suis heureux de pouvoir répondre à votre question sur la base des faits que vous avez exposés et en tenant compte de votre contribution, comme suit :

Avec sa décision de principe du 24 septembre 2008, la Cour fédérale des affaires sociales a clarifié que même une libération mutuelle et irrévocable de l'obligation de fournir un travail ne met pas fin à la relation d'emploi soumise à la sécurité sociale. (Cour fédérale des affaires sociales, jugement du 24 septembre 2008, B 12 KR 22/07 R)

En conséquence, l'obligation de sécurité sociale ne prend pas fin après un mois.

Je vous déconseille vivement de conclure un accord de liquidation, car selon la jurisprudence de la Cour fédérale des affaires sociales, cela peut entraîner une période de carence de 12 semaines pour les allocations de chômage. Cette période de carence a non seulement pour conséquence que le droit aux allocations de chômage est suspendu pendant trois mois. Elle conduit également à une réduction d'un quart de la durée totale de vos droits.

Si votre employeur souhaite donc vous licencier et vous accorder simultanément une indemnité, vous devriez utiliser la possibilité prévue à l'article 1a de la loi de protection contre les licenciements.

Je cite l'article 1a de la loi de protection contre les licenciements comme suit pour votre information :

"Article 1a
Droit à une indemnité en cas de licenciement pour motif économique
(1) Si l'employeur licencie pour des raisons impérieuses liées à l'entreprise en vertu de l'article 1, paragraphe 2, phrase 1, et que le salarié n'intente pas d'action en annulation du licenciement avant l'expiration du délai prévu à l'article 4, phrase 1, il a droit à une indemnité avec l'expiration du délai de préavis. Le droit à l'indemnité est subordonné à l'avertissement de l'employeur dans la déclaration de licenciement que le licenciement est fondé sur des raisons impérieuses liées à l'entreprise et que le salarié peut réclamer l'indemnité s'il laisse passer le délai pour intenter l'action.
(2) Le montant de l'indemnité est de 0,5 mois de salaire pour chaque année de durée de la relation de travail. L'article 10, paragraphe 3, s'applique par analogie. Pour déterminer la durée de la relation de travail, une période de plus de six mois doit être arrondie à un an complet."

J'espère que ma réponse vous a donné un premier aperçu de la situation juridique.

Je tiens à vous informer que cette réponse, basée sur vos indications, n'est qu'une première évaluation juridique de la situation. Cela ne peut pas remplacer une évaluation complète. En ajoutant ou en omettant des informations pertinentes, l'évaluation juridique peut être complètement différente.

Vous pouvez bien sûr me contacter dans le cadre de l'option de suivi sur cette plateforme ou par e-mail.

Pour une représentation de vos intérêts au-delà de cette consultation initiale, mon cabinet est également à votre disposition.

Je vous souhaite une bonne soirée et vous prie d'agréer, Madame, Monsieur, l'expression de mes salutations distinguées.

RA Michael Vogt

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Experte für Droit du travail

Michael Vogt

Michael Vogt

Reutlingen

Herzlich Willkommen auf meinem Profil. Durch meine frühere Tätigkeit als DGB Jurist verfüge ich über umfangreiche Erfahrung in allen Bereichen des kollektiven und individuellen Arbeitsrechts sowie des Sozialrechts. Seit 2007 bin ich als Rechtsanwalt darüberhinaus schwerpunktmässig in den Bereichen Vertrags-, Kredit- und Kaufrecht tätig. Ich bin Mitglied der Arbeitsgemeinschaft Sozialrecht im Deutschen Anwaltverein (DAV), im Republikanischen Anwältinnen und Anwälteverein (RAV) sowie der Gewerkschaft ver.di. Ich freue mich auf Ihre Kontaktaufnahme.

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