Radiation de l'hypothèque après le redressement judiciaire.
Cher Monsieur l'avocat,
J'ai bientôt le même problème que celui joint en annexe, à savoir que les droits fonciers resteront après la libération de la dette résiduelle, ou que la propriété grevée pourra être vendue aux enchères en cas de besoin.
Comme l'a écrit le client, il n'a aucun sens de continuer à avoir des dettes après avoir pris la lourde décision de la faillite. Vous soutenez que cela pourrait inciter les gens à obtenir des propriétés de manière frauduleuse, ce qui est plutôt irréaliste étant donné les conditions draconiennes imposées par les banques en matière de prêts.
Dans mon cas spécifique, la banque grevée a inscrit sa créance résiduelle dans le tableau de la faillite. La propriété elle-même a été libérée de la masse de la faillite.
Pour maintenir le statu quo, je verse encore un montant mensuel à la banque sans reconnaissance de dette.
Le contrat de sécurité pour les droits fonciers à l'époque régissait l'utilisation de l'argent qui a été inscrit dans le tableau. Pour moi, la question se pose maintenant de savoir si la suppression du tableau entraîne également la disparition du motif de sécurité pour les droits fonciers. Si le motif de sécurité pour un privilège sur un bien immobilier n'existe plus, dans ce cas, en raison de la libération de la dette résiduelle et non du paiement, la même démarche est prise par la banque pour libérer les droits fonciers. Après la libération de la dette résiduelle, je ne vois aucune raison de payer à la banque pour un privilège vide.
La banque n'a donc plus de raison de poursuivre cette dette. D'autres recherches que j'ai menées indiquent que la banque est elle-même coupable de ne pas avoir vendu le bien aux enchères dans le cadre de la faillite.
Il est tout aussi irréaliste de recevoir de l'argent mensuellement de la part du débiteur pendant la faillite, et ensuite de réaliser le reste par une vente aux enchères après la libération de la dette résiduelle, et cela ne résisterait certainement pas à une évaluation judiciaire.
Je pense que la situation juridique dans mon cas est probablement différente de celle du client joint en annexe, et vous devez probablement examiner le cas individuel.
Dans l'attente de votre réponse rapide, je vous prie de croire, Monsieur l'avocat, en l'assurance de mes salutations distinguées.