Copropriété d'un chemin privé qui est négligé par des copropriétaires qui ne le sont plus.
Cher Monsieur l'Avocat,
En 1937, les propriétaires de terrains de notre lotissement, qui s'étend sur plus de 800 mètres de long et où les deux terrains se font toujours face, ont cédé chacun une largeur de 3 mètres et une longueur d'environ 20 mètres pour établir un accès commun. À l'époque, il a été enregistré comme propriété commune au cadastre. Au départ, il y avait 82 copropriétaires par parcelle. De plus, cela a également été fait avec un terrain de puits, car il n'y avait pas d'eau potable à l'époque. On devait se débrouiller seul. Entre-temps, le bureau du cadastre de Görlitz ainsi que les héritiers et les acheteurs qui ont repris la propriété privée ont omis de transférer également les deux cadastres concernant le chemin et le terrain du puits, qui n'est désormais plus utilisé. Il n'y a pas de gestion de la copropriété car les colons se sont disputés sur la question de quand le chemin sablonneux devrait enfin être stabilisé. Trop cher! Il s'agissait de 3000 euros par unité de copropriété. Et puis : on m'a dit que je n'étais pas le bon gestionnaire, même si j'avais été élu. Ils avaient simplement peur que j'entreprenne énergiquement la stabilisation du chemin complètement délabré. Alors ils ont fondé une association d'opposants et ont mis en avant d'autres intérêts. Mais même l'association n'a pas été capable de résoudre les problèmes. Entre-temps, il y a 18 propriétaires qui ne sont plus désignés comme copropriétaires au cadastre, mais comme anciens propriétaires, décédés depuis longtemps. Les 18 en profitent. Ils pensent maintenant qu'ils n'ont plus rien à faire pour l'accès commun. Ils le laissent se délabrer complètement comme un paysage lunaire. D'autres prennent une pelle et rebouchent les nids-de-poule de manière sommaire, même devant la porte de ceux qui estiment ne plus être responsables. La situation est devenue tellement intenable que je me sens obligé de poser cette question.
1. Les anciens copropriétaires peuvent-ils se dégager de toute responsabilité concernant l'accès commun?
2. Serait-il possible que les copropriétaires puissent déclarer leur sortie de la copropriété devant le tribunal de grande instance