Die Verjährung - la prescription
Avril 16, 2011 | 40,00 EUR | répondu par Dr. Dr. Danjel-Philippe Newerla
Mon avis de l'impôt sur le revenu de 1996 en date du 21.11.2000 indique que l'avis a été modifié en vertu de l'article 10d, paragraphe 1, phrase 2 de la Loi sur l'impôt sur le revenu. Il est partiellement provisoire en vertu de l'article 165, paragraphe 1, phrase 2 du Code des impôts. Il a été modifié en vertu de l'article 164, paragraphe 2 du Code des impôts. La réserve de vérification reste en vigueur. J'ai essayé de demander le remboursement des pénalités de retard et j'ai reçu la réponse que la prescription de l'établissement des impôts était intervenue. Est-ce correct? Que puis-je faire à ce sujet? Salutations.
Cher demandeur,
Merci beaucoup pour votre demande. Je voudrais y répondre comme suit :
Les pénalités de retard sont des accessoires fiscaux au sens de l'article 3, paragraphe 3 de l'AO et ne sont pas en principe soumises à la prescription de l'établissement selon l'article 169 de l'AO.
La déclaration du bureau des impôts est donc au moins imprécise.
Il est essentiel de déterminer si les pénalités de retard étaient justifiées et si la prescription en matière civile s'applique.
Si les pénalités de retard ne sont pas justifiées, vous auriez en vertu de l'article 812 du Code civil un droit de restitution en raison de l'enrichissement injustifié.
Ce droit se prescrit selon les articles 195 et 199 du Code civil en 3 ans, le délai de prescription commençant à courir à la fin de l'année au cours de laquelle les pénalités de retard vous ont été imposées.
Malheureusement, si cela remonte à 2000, le droit est malheureusement prescrit.
J'espère avoir pu vous fournir une première orientation juridique et je vous souhaite beaucoup de succès et tout le meilleur !
Je voudrais également attirer votre attention sur ce qui suit :
Les informations juridiques que j'ai fournies sont basées exclusivement sur les éléments de fait que vous avez fournis. Ma réponse constitue simplement une première évaluation juridique des faits, qui ne saurait se substituer à une évaluation complète des faits. En effet, l'ajout ou l'omission d'informations pertinentes peut entraîner une évaluation juridique totalement différente.
J'espère que mes explications vous ont été utiles. N'hésitez pas à me contacter via l'option de demande d'information si vous avez des questions.
Je vous souhaite un agréable samedi après-midi !
Cordialement depuis la côte de la mer du Nord,
Dipl.-Jur. Danjel-Philippe Newerla, avocat
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27570 Bremerhaven
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Fax.0471/140244
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